L’Entrepôt suite 1

Catégories : FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem Hommes fessés
Ce récit est la suite de : L’Entrepôt
il y a 3 jours
  1. La salle de soins

Elle fut avertie par téléphone de l’arrivée prochaine d’une gardienne pour prendre possession de son mâle. Une grosse femme africaine entra dans la chambre avec un petit sourire en regardant Jonathan.

  • Bonjou Mdam, il est prêt ? J’ l’emmène.
  • Oui, allez- y.

Elle décrocha la laisse de l’anneau mural et le tira fermement derrière elle. Sandra ne lui jeta pas un seul regard et il se retrouva dans le couloir avec la femme.

  • Elle t’a mis ta cage, c’est dommage, j’aurais ben aimé voir ton zizi. Ce sra pour une aute fois, il faudra que j’t’essaye.

Elle le conduisait dans le couloir sans rien dire et s’arrêta devant une petite porte qu’elle ouvrit en le poussant à l’intérieur. Au passage, elle lui pinça la fesse avec ses ongles qui firent une trace dans la peau blanche.

  • Tu attends qu’on vienne te cheché !

Elle referma la porte sur lui et il se retrouva dans un petit sas, entre deux portes fermées et capitonnées. Quand la porte s’ouvrit, Jonathan se retrouva nu devant une seconde grosse femme noire habillée et équipée telle que l’on peut les voir dans une criée à poisson au Sénégal, botte blanche en caoutchouc, blouse en nylon sale, qui pendouille et gants en plastique bleu. Elle sourit à la vue de son sexe emprisonné dans sa cage.

  • Bienvenu mon chou, vin vit m’voir, dépêche- toa.

Jonathan quitta le sas et il se retrouva, effaré, dans un univers incroyable. C’était un vaste hall aux murs de béton, des piliers qui tenaient un plafond à plus de quatre mètres de haut et un sol en ciment lissé. Il faisait froid du fait d’importants courants d’air et Jonathan frissonna. Cela n’avait plus rien à voir avec la chaleur du couloir.

Cela ressemblait à un abattoir ou à un atelier d’usine. Le sol était très glissant, recouvert d’eau sur toute sa surface, les grilles ne suffisant visiblement pas à tout aspirer. Il y avait aussi des caméras fixées au plafond, il en repéra au moins quatre. Jonathan se demandait ce qu’il faisait là. Il se sentait pitoyable, nu à la merci de cette drôle de femme.

  • Bon, ici c’est moi qui commands. T’es dans la laverie des pensionnaires et moi j’en suis responsable. J’suis autorisée à faire respect l’odre par tous les moyens. Si t’n’écoutes pas, t’le sentiras passer. Intedit de palé. Tu t’laisses fér, c’est tout.

Elle se rapprocha de lui, elle avait en main un drôle d’objet, un peu comme ceux utilisé pour attraper un animal. C’était une canne en bois longue d’un mètre munie d’une poignée et terminée par une boucle en cuir assez large pour passer une tête et fermée avec un nœud coulant. Elle prit Jonathan par le cou et lui passa la tête dans la boucle. Il fut ensuite tiré sans autre commentaire vers un des murs de la pièce. La boucle s’était aussitôt refermée autour de sa gorge et il se sentit tout de suite légèrement étouffé. C’était clair que, s’il ne suivait pas, il ne pourrait plus respirer.

  • J’vais te nettoyer et t’faire tout pope.

Elle le mit dos au mur. Cinq pistolets de lavage étaient alignés sur quelques mètres et raccordés à des tuyaux en caoutchouc. Cela ressemblait à des appareils de lavage sous pression comme on en voit dans les stations- services.

Elle accrocha la canne à un mousqueton fixé au plafond, Jonathan était de face et se tenait sur les orteils pour soulager son cou. La femme se saisit d’une des lances de lavage et déclencha un jet puissant sur son corps. Il sentit la lame d’eau sur sa peau. Sur ses couilles, cela lui fit très mal et sur son ventre aussi.

  • Toun- toa maintnant et écat les fesses.

Il obéit et senti le jet rentrer dans son cul. La séance dura une bonne dizaine de minutes. Beaucoup plus que nécessaire, mais visiblement cela amusait la femme de le voir se trémousser pour échapper à la douleur. Jonathan était maintenant tout rouge et sa peau était zébrée des traces du jet violent.

  • Bon, maint’nant faut fér revenir lé sang.

La femme entreprit de le frotter avec un gant de crin. Elle l’astiqua comme le ferait un palefrenier avec sa jument. Jonathan avait l’impression que sa peau était arrachée. Il était brûlant. Il commençait à avoir peur. Il sentait que la situation lui échappait totalement et que ce n’était plus un jeu. Il était vraiment devenu un objet et il savait maintenant qu’il n’y avait sans doute pas de retour en arrière possible.

La femme détacha la canne de l’anneau du plafond et prit en main Jonathan en tirant sans ménagement sur son cou. Il marcha tant bien que mal sur le sol glissant au pied du mur des pistolets de lavage et suivit sa laveuse en trottinant. Elle lui indiqua un endroit sur le sol, il y avait là une sorte de petit bassin carré d’un mètre de côté, façonné dans le ciment avec de légers rebords d’une dizaine de centimètres. Il était rempli d’un peu d’eau froide colorée.

  • Assied- toa là- d’dans et laisse tes jamb d’hors.

Il obéit aussitôt, s’accroupit et se retrouva les fesses dans le bassin, l’eau recouvrant le bas du ventre. La femme alla chercher une bouteille en plastique dont elle retira la capsule. Elle en vida la moitié du contenu dans le bassin en éclaboussant sur ses cuisses et son ventre. Aussitôt une forte odeur d’eau de javel monta aux narines de Jonathan.

  • C’est un bon bin por désinfectè, mon chou.

Le dosage était très concentré et les vapeurs le mettaient mal à l’aise. La femme le regardait en fumant une cigarette. Au bout de dix minutes, la femme replaça la sangle de la canne autour de son cou et le tira vers le haut pour le mettre debout. Il sentait fort le chlore et sa tête « tournait » un peu.

Elle le conduisit dans une salle attenante qui avait pour seul mobilier une paillasse rectangulaire placée en son centre. Haute d’un mètre et toute en carrelage, elle permettait de travailler à hauteur sans se fatiguer. Cela devait être un ancien établi de manutention lourde. Juste au- dessus pendait une chaîne fixée au plafond. La femme fit monter Jonathan sur la paillasse à quatre pattes et accrocha la canne à la chaîne. La sangle lui faisait mal au cou et lui tirait la nuque en l’air. Ainsi, il ne pouvait pas voir en- dessous de lui. Il ne voyait que les deux caméras qui filmaient la scène au- dessus de la paillasse.

  • Maintenant, je vais t’fér un lavage intene et un toilettage.

Elle sortit de la poche de sa blouse une grosse canule noire en fer. Elle retourna, se positionna derrière lui.

  • Bèss- toa, mon chou, j’vè té rentrer ça dan’l cu.

Le pieu en fer pénétra d’un coup dans son trou, encore dilaté suite à l’examen. Il la vit brancher un tuyau en plastique transparent jaunâtre sur la canule. Aussitôt un liquide tiède envahit ses entrailles. Elle venait de pousser le piston d’un gros appareil muni d’un bocal d’un litre de liquide. Elle retira tout l’appareil quand le bocal fut vide. Jonathan avait l’impression que son ventre avait doublé de volume et cela commençait à gargouiller.

  • Tu vas gadé tou l’iquid dan, un moment, tu srre l’cul

Ensuite, elle sortit une sorte de sèche- cheveux d’un tiroir, beaucoup plus gros. La bouche de l’engin était grillagée et cela ressemblait plus à un outil industriel qu’à un ustensile de beauté.

  • Avec ça mon chéri, je vais te sécher vite fait, mais je peux aussi te brûler tout ce que je veux si j’en ai envie, ça enlève la peinture des murs, alors fais gaffe à toi !

Elle passa l’ai chaud sur tout le corps de Jonathan en insistant entre les fesses et sur le sexe. Elle écartait tous les endroits à sécher avec ses mains gantées de caoutchouc, y compris dans les cheveux. Le contact de cette matière avec la peau était très désagréable, Il ressentait la brûlure du souffle juste avant que la femme ne retire le flux. Elle était experte et savait jusqu’où elle pouvait aller.

Mais Jonathan voyait bien qu’elle avait envie de laisser le souffle juste un petit peu trop longtemps. Son ventre le faisait de plus en plus souffrir. Il se demandait s’il pourrait tout garder encore longtemps.

Une fois le corps complètement asséché, la femme alla chercher une grosse tondeuse et des rasoirs jetables. Aussitôt, elle lui mit une main gantée sur la figure en lui serrant les joues et commença à lui tondre le crâne avec des gestes brusques sans ménagement. Les cheveux tombaient à côté de lui.

Elle lui leva les bras l’un après l’autre, comme elle l’aurait fait avec les pattes d’un chien, pour lui tondre les aisselles et le torse. Puis il sentit ses fesses écartées et la lame de la tondeuse qui passait autour de son petit trou et sur ses bourses pendantes. Avec le rasoir, elle fit disparaître toute trace de poil sur son corps. Joues, bras, jambes, sexe tout y passa. Jonathan se sentait totalement nu et ressentait une drôle d’impression de perte de repère et d’identité.

  • Voilà, maintenant tu ressembles à queqchose, un beau ptit esclave imbebe, sans son pelage de sauvage.

Elle le fit descendre de la paillasse et lui présenta un sceau avec de larges bords, comme ceux utilisés comme « pot de chambre » au dix- neuvième siècle.

  • Tu vas chié d’dans maintnant, vid té trips, pour senti bon

Il eut juste le temps de s’asseoir avant de lâcher plusieurs gros jets de matières dans le sceau. Cela sentait très mauvais et il eut très honte de la situation.

  • On fra ça tou les jours, maint’nant, fo êt niquel lad’dans sinon t’es puni

La femme lui passa ensuite une crème sur tout le corps et insistant sur ses parties intimes. Avec les gants, elle n’hésita pas à rentrer un doigt dans son cul. La crème était parfumée à la vanille. Il pensait aux caméras et se demandait si quelqu’un regardait ce qu’on lui faisait. Avec le zoom, toute son intimité devait se voir. Elle lui passa du rouge à lèvres sur la bouche et sur les deux tétons.

  • T’es belle comm ça, ta maîtesse va ête fière de toa et pourra te montrer maintenant.

Elle décrocha la canne et tira Jonathan vers elle. Elle alla chercher dans un tiroir quelques bracelets de tissus multicolores, qu’elle fixa ensuite à ses chevilles et à ses poignets. Jonathan se sentît totalement ridicule, transformé en animal de foire.

D’ailleurs elle lui fit prendre la pose dans le champ d’une caméra, en faisant mine de le présenter comme un objet à vendre. Elle l’emmena ensuite vers une des portes de la pièce, l’ouvrit avec une clé et le poussa à l’intérieur. C’était un sas identique au premier. Elle décrocha sa canne et lui remit sa laisse qu’elle fixa à un anneau du mur. Elle appuya ensuite sur une sonnette et referma la porte.

  • Maintnant, t’attends ici sagement qu’on vienne te rechéché.

Jonathan se retrouva dans le noir. Il ressentait une peur sourde qui lui donnait des crampes dans le ventre. Ses fesses, brulées par l’eau de javel, le faisaient souffrir ainsi que son cul dilaté. Qu’allait- il lui arriver ?

Il attendit un temps qui lui parut très long. Il ne pouvait même pas s’assoir à cause de la laisse. Quand la porte s’ouvrit, il se retrouva en face de la première grosse femme. Elle entra dans le sas et referma la porte. Il sentit son corps lourd se presser sur le sien et ses lèvres qui se posèrent sur les siennes. D’une main, elle lui prit les couilles déjà serrées par l’anneau de la cage et les pressa l’une contre l’autre.

  • Mmm, z’ont l’air petites tes boulettes, elles serv pu ?

Jonathan ne put répondre, la grosse femme venait de lui fourrer sa langue dans la bouche et le dévorait avec ses énormes lèvres charnues. Elle lui pressait les couilles et cela lui faisait très mal. Il se pliait un peu à chaque fois, mais cela n’empêchait pas la grosse de continuer. Elle lui prit la nuque et lui colla le visage sur sa poitrine.

Il sentit la peau de la femme qui avait déboutonné son chemisier et elle lui écrasa la bouche sur un de ses tétons. Il prît le gros bout de chair entre les dents et commença à sucer machinalement en aspirant. Il se demanda s’il n’allait pas parvenir à lui tirer du lait, tellement la tétine était enflée et le sein obèse. Il suça de longues minutes. Elle gémissait de plaisir. Elle lui prit la main et la guida vers son sexe. Il ressentit aussitôt la chaleur des chairs moites. Elle ne portait pas de culotte, et deux de ses doigts entrèrent naturellement dans la chatte mouillée.

La grosse femme gémit encore plus et poussa son ventre en avant. Il comprit qu’elle en voulait encore plus Il la masturba en cherchant le clitoris. Sa main s’agitait maintenant de façon régulière et d’un seul coup, la femme lui mordit les lèvres en jouissant. Du liquide chaud coula sur sa paume.

  • Mmm, t’es un bon banleur toa, j’vais l’dir ô copines.

La femme se saisit de la laisse et le sortit du sas, comme si rien ne s’était passé. Il la suivit dans le couloir comme un chien obéissant. Il ne reconnaissait pas la décoration des murs. Ils devaient se trouver dans un autre endroit de l’établissement. Jonathan était perdu et sans repère. Ils longèrent de nouveau une succession de portes toutes identiques et la femme s’arrêta devant une d’entre elles.

  • Rent l’a’dans, mô minou, y a quekqu’un qui t’attend.

Elle le poussa à l’intérieur d’une petite pièce sombre. La porte claqua derrière lui. Des projecteurs s’allumèrent brusquement en l’aveuglant. Il se sentit pris par les bras de chaque côté et le dos plaqué contre une surface roide et lisse. Ses bras furent tirés de part et d’autre du corps et ses mains maintenus dans des sangles. Ses jambes et ses chevilles subirent le même sort.

Il était désormais fermement tenu dans une position en croix qui exposait son corps largement. Ses yeux essayaient de s’habituer à la lumière crue et il parvint à distinguer deux silhouettes, vêtues de combinaisons noir brillant. Jonathan entendit la voix dure d’une femme.

  • Bonjour, esclave. Ta Maîtresse a décidé de te dresser. Ici, tu n’es plus rien et nous avons autorité pour te faire subir ce que l’on veut. Tu as mal répondu lors à l’examen. Tu étais prévenu pourtant et tu n’as pas cru à ce que l’on te disait. Tu as mérité quatorze punitions.

Une des deux femmes leva son bras en l’air et abattit une longue baguette fine en travers de la poitrine offerte. Il ne s’attendait pas à une telle douleur et ressentit le feu sur son corps. Un second coup lui stria le ventre. Puis un troisième sur le bas ventre et un quatrième sur les cuisses. Jonathan avait très mal et ne savait jamais quand allait le frapper la badine.

  • Alors esclave, la punition te plait ? Ta peau est déjà bien marquée, cela te fera mal quelques jours, cela t’apprendra à écouter ce que l’on te dit. Il te reste dix coups à recevoir, sur quelle partie de ton corps souhaites- tu les avoir?
  • Sur les jambes, s’il vous plait.
  • D’accord, je vais te les donner partout sauf sur les jambes.

La badine le cingla à nouveau, les coups se firent encore plus forts, sur le ventre de chaque côté, sur les seins, sur les hanches, sur les bourses plusieurs fois et même deux sur le visage. Le corps de Jonathan était couvert de zébrures, dont les premières commençaient à boursoufler et à prendre une belle couleur brunâtre. Il tremblotait et gémissait un peu. Il avait perdu pied et ne savait plus où il était.

  • Je m’appelle Maîtresse Jeanne, et voilà Maîtresse Diana. Nous espérons que tu as apprécié ta punition. Je te conseille de faire attention dorénavant. La prochaine fois, nous serons moins gentilles avec toi.

Il restait hébété, le regard dans le vide et murmura un petit « oui, Maîtresse».

  • Tu vas aller retrouver ta Maîtresse, c’est bientôt l’heure du déjeuner. Cet après- midi tu es chargé du nettoyage des toilettes. Ce sera ton travail, tâche de bien le faire.

Les deux femmes quittèrent la pièce en laissant Jonathan accroché au mur. Ce n’est qu’au bout d’une demi- heure que la porte s’ouvrit et que la grosse femme noire rentra dans le local. Elle s’approcha de lui et lui pinça les têtons avec les ongles.

  • Tiens, pti blanc, t’es un vilain esclav.

Elle lui tira les mamelons en avant en les secouant. Puis, en se penchant en avant, elle approcha ses grosses lèvres des petits bouts de chair rose. D’un coup, elle referma ses dents dessus en serrant très fort. La morsure fit crier Jonathan, mais cela n’empêcha pas la femme de mordre cruellement le second têton. Elle le gifla sur chaque joue, attendit un peu et recommença une nouvel fois, encore plus fort.

  • Voilà esclav, moa aussi j’suis ta Maîtess, tu doa m’respecté, dis le moa !
  • Oui, Maîtresse, je vous respecte et je vous obéirai toujours

La « black » le décrocha des sangles et le tira par sa laisse. Ils sortirent de la pièce et se retrouvèrent dans un autre couloir, puis dans un autre. Ils arrivèrent enfin devant la porte de la chambre 00 et la femme toqua à la porte. Jonathan était honteux de retrouver son épouse. Il entra en baissant les yeux. Il se savait ridicule et misérable, entièrement nu, accroché par le cou et ses rubans de couleur qui enlaçaient ses membres. Il y avait aussi les marques de la badine qui attestait de sa punition. Sandra le regarda entrer et l’observa pendant que la grosse femme noire l’attachait à l’anneau du palier.

  • Voilà, M’dam, l’é prop, j’vous laiss. Le dejeuné est pét dans une demi- heure.
  • Merci beaucoup.

Elle s’approcha de lui et tourna autour en souriant.

  • Humm, ils se sont bien occupés de toi, on dirait. Je suis contente. Moi je n’aurai pas pu faire ça aussi bien. Ce Centre est vraiment efficace. Je crois que tu n’as plus intérêt à mentir ou à désobéir.

Sandra le laissa accroché à son anneau et s’isola dans la salle de bain pour se préparer. Cela dura une vingtaine de minutes pendant lesquelles Jonathan pensait à ce qu’il allait devenir. Il se demandait maintenant si son épouse n’avait pas la volonté d’aller plus loin que le jeu. Il paniquait de se savoir prisonnier.

Quand elle réapparut, il n’eut pas le courage de dire quelque chose. Il se contenta de baisser les yeux quand elle le dévisagea.

  • Tu vas venir au restaurant avec moi, sois sage.

Elle se saisit de la laisse et ils sortirent ensemble de la chambre. Sandra tira Jonathan derrière elle et ils longèrent quelques portes. Elle n’avait pas l’habitude de traiter comme ça son mari, mais elle trouva la situation très agréable finalement et décida d’en profiter au maximum. Au bout du couloir, ils rencontrèrent un couple qui marchait dans la même direction. La femme, d’âge mûr, très distinguée, tenait à la laisse un très jeune homme, totalement nu. Il avait l’air apeuré et tremblait un peu.

La laisse était fixée à un gros anneau qui lui traversait le gland et la femme tirait dessus pour garder le sexe à l’horizontal. Un autre gros anneau, comme ceux que l’on voit sur les bovins, lui traversait la paroi du nez.

  • Bonjour, Madame, je suis nouvelle ici, vous savez où se trouve le restaurant, s’il vous plait ?

La femme lui sourit et regarda avec mépris Jonathan.

  • Bonjour, bien sûr, suivez- moi, j’y vais également, nous déjeunerons ensemble si vous voulez, je m’appelle Maryse. Votre mâle est très joli, les traitements lui feront du bien, vous avez fait le bon choix en venant ici. Moi, je viens pour la troisième fois. J’ai déjà deux esclaves, dont mon mari, à la maison. Celui- là, c’est un nouveau. C’était le camarade de mon fils au lycée. Dès sa majorité, je l’ai récupéré pour le confier au Centre. C’est son deuxième stage, il est presque opérationnel maintenant.

Sandra observait le jeune homme, qui regardait vers le sol en permanence. Il était très fluet et ses grosses couilles ballottaient entre ses jambes comme celles d’un animal. Elle remarqua aussi qu’il portait un appareil entre les fesses, un tube enfoncé dans l’anus, muni d’un gros bouchon et d’une chaînette. Ils se présentèrent au bout du couloir à l’entrée d’une grande pièce ou se trouvait la salle de restaurant. Une dame d’un certain âge les accueillis.

  • Bonjour Mesdames, je m’appelle Huguette, je suis là pour vous servir, venez avec moi, vous êtes ensemble ?
  • Oui, s’il vous plait, merci.

Les deux femmes tirèrent leurs mâles par les laisses et suivirent l’hôtesse jusqu’à une table de la salle. Il y avait déjà d’autres clientes installées avec des hommes assis ou couchés à leurs pieds. Toutes les tables étaient équipées d’anneaux en acier. Sandra observa les femmes pour savoir ce qu’elle devait faire.

L’une d’elle avait attaché son esclave à l’anneau et la laisse était fixée à une sorte de harnais en cuir dont une des sangles passait à l’intérieur de deux boucles qui transperçaient les tétons. Les deux seins étaient ainsi tirés en avant. Une cagoule recouvrait entièrement sa tête et seul un tuyau en plastique souple en sortait. Un petit entonnoir, fixé au bout, devait sans doute servir à le nourrir. Son pénis était invisible, emprisonné dans un tube en fer troué à son extrémité et attaché par une chaîne au harnais. L’homme devait certainement se mettre à quatre pattes pour pouvoir uriner par terre. Ses couilles pendaient en dessous d’une grosse bague en acier de sept centimètres de long, elles étaient très étendues, cela devait peser au moins huit cents grammes.

Une autre cliente avait ses pieds posés sur le corps de son esclave. L’homme avait une sorte de muselière en cuir attachée par une sangle passant derrière la tête. Un système en acier, au niveau de la bouche, permettait de laisser une grande ouverture de quatre centimètres. Sa Maîtresse pouvait ainsi utiliser celle- ci en permanence pour y mettre n’importe quoi. La laisse était fixée à la muselière. Il portait une couche. Son ventre était marqué par le chiffre « 15 ». Ce n’était visiblement pas fait avec un feutre, mais bien avec un fer. La marque était profonde, la chair avait dû être brûlée longuement. Sandra vit la femme lui verser dans la muselière une mixture qu’elle venait de préparer dans un bol. Elle avait écrasé du pain dans le jus du plat de moule et vidé le cendrier. La bouillie disparut dans le gosier de l’esclave qui avala sans bruit.

Sandra était un peu gênée, elle n’était pas habituée, mais personne ne l’avait remarqué. Elle s’assit à la table en tirant Jonathan par le cou et en le forçant à se mettre au sol. Elle lui dit de rester près d’elle, la tête proche de ses jambes. L’hôtesse leurs remis la carte des plats.

  • Aujourd’hui au menu, nous avons d’excellentes moules marinières et des artichauts. Je vous le conseille.

Les deux femmes acquiescèrent avec un sourire.

  • Et pour vos mâles, comme d’habitude, je vous apporte leurs croquettes.

Maryse souriait à Sandra qu’elle trouvait encore un peu gauche dans son nouveau statut de Maîtresse.

  • Merci, ce sera parfait. Mon amie n’a pas encore l’habitude. Et son mâle esclave non plus, ça ira.

La femme raconta à Sandra comment elle en était arrivée à contraindre son mari à se soumettre et comment elle l’avait mis en esclavage. C’était un homme important et riche, il continuait à travailler et lui donnait tout ce qu’il gagnait sans que personne ne le sache. À la maison, il obéissait à tout. Elle ne le touchait plus en tant qu’homme, il était sous cage en permanence et devait s’occuper de tous les amants qu’elle invitait chez elle. Il devait en particulier les préparer et les nettoyer après l’acte. En cas de besoin, il servait de WC. Sandra écoutait avec intérêt ce récit et se voyait déjà dans la même situation. Il lui faudrait convaincre Jonathan.

Un serveur apparut avec un grand plat. L’homme était jeune. Il était totalement nu. Deux clochettes pendaient de ses bourses et une jolie queue de cheval sortait de son cul. Avec un petit tintement des clochettes, il approcha de leur table et présenta le plat.

  • Lui c’est Kevin, il a été dressé ici, il paraît que c’est l’ancien mari d’une des Maîtresses. Elles l’ont gardé pour faire le service. Il sert à tout. Vous pouvez l’utiliser pour n’importe quoi, il suffit de s’inscrire à l’accueil pour le réserver. Il accepte tout sans problème.

Kevin déposa les assiettes de moules devant les deux femmes. Il posa au sol deux bols devant Jonathan et le petit jeune. Il prit un sachet et versa une poignée de croquettes brunes et vertes dans les récipients.

  • Vous voyez, Sandra, c’est très bon pour eux, il y a un mélange de viande et de végétaux. Cela les nourrit et cela les fait maigrir car il n’y a pas de graisse.

Le petit jeune plongea sa tête dans le bol et mâcha avec difficulté une bouchée de croquettes. Jonathan l’observait et se dit qu’il devait faire pareil.

  • Bravo ! Regardez, Sandra. On dirait qu’il est intelligent. Il a compris ce qu’il devait faire pour manger.

Jonathan baissa les yeux et se concentra sur la bouchée de croquettes qu’il avait dans la bouche. C’était très dur et très sec. Il lui fallut beaucoup de salive pour parvenir à avaler.

  • Bien sûr, au- début c’est un peu difficile. Cet aliment est prévu à l’origine pour des gros chiens en bonne santé et pourvus de bonnes dents.

Sandra examinait son mari, mâchant avec difficulté et déglutissant pour avaler alors qu’elle, dégustait calmement son plat de moules. Maryse avait presque terminé son plat. Un tas de coquilles vides remplissait son assiette. D’un geste un peu blasé, elle se saisit d’une coquille et la présenta devant la bouche du jeune homme à ses pieds. Sandra fut impressionnée de le voir ouvrir la bouche et absorber le coquillage. Elles entendirent distinctement les dents se refermer dessus et le craquement de la coquille broyée. Après l’avoir mâché le jeune avala.

  • Et voilà, il parait que c’est bon pour le transit intestinal. Vous devriez essayez avec votre numéro 28.

Sandra hésitait, les coquilles avaient l’air très dures, et ce n’était pas normal pour un homme de manger ça. Maryse la regardait. Elle fit mine de fouiller le tas qui se trouvait dans son assiette et choisit la plus grosse moule. Elle la prit du bout des doigts et la montra à Jonathan. Il essaya de la fixer dans les yeux, mais elle détourna le regard en lui posant sur les lèvres. Il ouvrit la bouche et ferma les yeux. Avec sa langue il plaça la carapace au fond de sa mâchoire et écrasa autant qu’il put. Plus il mâchait, plus les miettes se répandaient dans sa bouche et dans sa gorge. Il avala en déglutissant.

  • Ils ont l’air d’apprécier, on dirait. Et si on leurs en donnait encore ?

Maryse encouragea sa nouvelle amie et les deux femmes s’amusèrent à bourrer une poignée de coquilles vides dans la bouche de leurs esclaves. Sandra était ravie. Tout cela l’amusait beaucoup et déjà, elle ne regardait plus Jonathan avec le même regard. Elle ne pouvait s’empêcher de le mépriser de le voir ainsi soumis et veule. Elle commençait à se faire à l’idée que son mari ne serait plus jamais comme avant et qu’elle le transformerait complètement.

Elle entendit un petit bruit de clochettes et vit le serveur s’approcher à nouveau de leur table. Elle ne put s’empêcher de regarder son sexe qui pendouillait entre les jambes. Il avait l’air d’être gros et cela l’excitait un peu. Elle irait voir à l’accueil pour le réserver ce soir. Elle avait envie de goûter une autre queue que celle son mari. Elle ne le toucherait plus de toute façon, alors autant commencer à s’amuser avec d’autres sexes plus gros. Elle avait même envie de le faire devant lui pour le rabaisser et lui faire payer toutes ses infidélités.

Kevin desservit la table et déposa deux nouvelles assiettes avec les artichauts. Les deux femmes dégustèrent chacune des feuilles en les plongeant dans une sauce onctueuse. Sandra adorait ce plat et cela lui rappelait son enfance. Elle se rappelait qu’elle faisait pleurer son petit frère qui détestait ça. Elle le forçait à manger des feuilles en lui disant que c’était bon pour grandir. Elle n’avait jamais réussi à lui ne faire avaler. Elles avaient toutes les deux terminé à sucer la chair tendre du légume et il ne restait plus que les feuilles dures et rêches.

  • Vous croyez, Maryse, que nos amis aimeraient y goûter ?
  • Excellente idée, ils ont encore faim !

Sandra regarda son mari et lui présenta une feuille devant la bouche, sans rien dire. Il écarta les lèvres et elle lui bourra dedans. Aussitôt, il se mit à mâcher. Elle lui remplit la bouche de feuilles en tassant avec le doigt. Il avait les joues gonflées et avait beaucoup de mal à avaler. Maryse faisait de même avec son jeune esclave.

  • Vous aviez raison, Sandra, ils ont l’air de raffoler de cette verdure. C’est rigolo, on ne se doute pas de tout ce qu’aime un esclave.

Les deux femmes rirent et burent un grand verre de bon vin pendant que les deux hommes avalaient avec peine des boules de fibres végétales filandreuses et amères. Sandra était curieuse, elle voulait savoir comme cette femme avait réussi à dominer ce jeune homme.

  • Maryse, dites- moi, il ne se rebelle jamais votre petit esclave.
  • Non, bien sûr. J’ai tout ce qui faut pour l’en dissuader. Voulez- vous que je vous raconte comment je l’ai attrapé ?
  • Oui, j’aimerai bien.

....... suite à venir

Lire la suite : L’Entrepôt suite 2
La suite!!!
Je, ne j'avais pas que la torture. Pouvais encore exister, car c'est interdit est condamnés, de plus ça ressemble, aussi, au vrai sclave voir pire et l'esclavagisme a été aboli, et passible de plusieurs, années de prisons, cette texte et odieux.
J adore cette suite je suis vraiment fan de cette histoire et j attend la suite avec beaucoup d envie🥰. ce centre est vraiment génial j adore. Merci 😉
Merci pour les commentaires. Mon intention n'est pas de choquer la morale de certains mais plutôt de se faire plaisir grâce à une lecture de second degré qui donne accès à un monde imaginaire où les fantasmes procurent des sensations intenses.
impatient de lire la suite
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